Ce qu'il faut absolument savoir lorsqu'on crée une entreprise !

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Être un expert dans son domaine n'est pas à lui seul un gage de réussite.
Nous sommes de plus nombreux à vouloir créer notre activité, devenir maître de notre destin.
Je ne peux qu'adhérer à un tel état d'esprit, mais maîtriser parfaitement son domaine d'activité ne suffit pas aujourd'hui pour réussir,.
Nous sommes, dans un environnement hostile, confronté à un grand nombre de contraintes dont il faut absolument avoir pris connaissance si l'on ne veut pas qu'une belle aventure se transforme en naufrage.
Cette vidéo de 27 minutes nous ouvre les yeux sur les réalités de l'entrepreneuriat.
Olivier Biard
par Olivier Biard 11 octobre 2023
par Olivier Biard 2 août 2021
Article « Médiapart » du 3 Août 2021 Par Olivier Biard La justice enfin accessible à tous ! Ne contactez pas votre avocat avant d’avoir lu ceci ! La justice à deux vitesses n’est pas un mythe mais une réalité ! Depuis de nombreuses années la tendance n’a fait que s’aggraver et une part de plus en plus important de la population n’accède plus aux tribunaux que du « bout de la robe » L’aide juridictionnelle, à taux plein, ne couvre que deux petites heures de la prestation d’un avocat. C’est bien peu pour défendre des dossiers souvent très complexes. Pourtant la plaidoirie n’est que l’aboutissement d’une stratégie longue à élaborer. Et c’est bien là le cœur du problème. La collecte et le classement des pièces éparses des dossiers, extrêmement chronovores, suffisent à eux seuls à dilapider le maigre pécule des justiciables. Les avocats ne sont ni des magiciens, ni des philanthropes. Faute de temps et de moyens les « conclusions » ne sont que parodies face à celles d’adversaires avertis. Et pourtant les fondements de la justice reposent sur le principe de l’égalité des chances. Une situation révoltante et quotidienne dans l’un des temples de notre démocratie. Mais nous parlons aujourd’hui du passé. Mais nous parlons aujourd’hui du passé car une très audacieuse solution vient d’être découverte. La vulgarisation de la digitalisation permet à l’heure où j’écris ces lignes de présenter très facilement à son avocat un dossier parfaitement constitué permettant au professionnel du droit de consacrer l’intégralité de son temps à élaborer la stratégie gagnante. La charge de la constitution du dossier est totalement laissée au client qui l’effectue finalement avec une compétence bien supérieure au professionnel. « C’est son dossier précise l’inventeur du processus : personne n’est plus à même de diffuser et structurer les mois de conflit accumulés ». Une découverte surprenante Une découverte surprenante qui ne peut fonctionner qu’en respectant un processus précis. L’économie n’est pas seulement en temps, mais en qualité, le protagoniste, comme son nom l’indique, étant le plus à même de structurer l’historique du conflit. En découle un dossier mieux structuré, plus clair, plus complet et purgé de toutes erreurs. Un document immédiatement consultable pour le professionnel qui peut se consacrer entièrement au cœur de cible de sa mission. Mais le processus va plus loin car il permet le multi partage des informations et contourne le principe de « confidentialité ». Le « edossier », c’est son nom, apporte bien plus qu’un gain de temps car il permet l’échange d’informations entre un nombre illimité de participants ; Conçu au départ pour permettre l’accès à une justice de qualité aux moins fortunés, le processus apporte finalement à tous des avantages inexistants auparavant : rapidité, flexibilité, véracité élimination des erreurs et des confusions. Dans une relation traditionnelle avocat-client la communication des pièces de la procédure est longue et fastidieuse. « Nous voyons régulièrement de graves erreurs de synthèse dans les conclusions des professionnels, les clients peinent à suivre l’évolution de leur dossier et, faute de temps, l’information client-avocat est souvent famélique et défectueuse ! » Le client se repose le plus souvent entièrement sur les compétences du professionnel, alors que celui-ci n’a qu’une vision chimérique du dossier. Le devoir de confidentialité allégé L’indispensable confidentialité de l’avocat, une réelle contrainte pour la fluidité de l’information est totalement intégrée et purgée de ses inconvénients le processus permet à tous et à chacun dans son intégralité et en temps réel l’accès au dossier à l’initiative du client. Une implication totale et une totale liberté Auparavant le justiciable n’était que le spectateur de ses difficultés Une situation souvent perçu douloureusement Dans ce processus il devient « acteur » et même « metteur en scène » puisque propriétaire et détenteur de son dossier, il peut choisir ses « collaborateurs » et même en changer. Et si négocier devenait possible ! Le « edossier» permet également une avancée spectaculaire dans la gestion financière de la procédure. Dès le premier contact avec son avocat la problématique apparaît clairement et le professionnel est en mesure d’évaluer la charge de travail. Une formation gratuite ? Les créateurs du processus ont été conscients des difficultés d’accès au numérique au plus grand nombre, ils ont donc mis en œuvre une formation d’accompagnement financée par les OPCO et les Comptes Personnels de Formation. « La vulgarisation du digitale n’est pas encore effective, une formation très facile et très rapide permet de mettre œuvre et de bénéficier immédiatement de tout le potentiel du processus du « edossier » Accessible à tous et gratuit La constitution du dossier ne nécessite que peu de matériel, un PC ou un portable, un scanner. Le processus utilise des moyens digitaux gratuits Ne contactez pas votre avocat avant d’avoir lu ceci ! « Ne contactez pas votre avocat sans votre edossier", martèle son créateur » Faciliter l’accès des plus démunis à une vraie justice, c’était l’objectif, un objectif largement dépassé car il apporte une réelle fiabilité et flexibilité dans les échanges entre les intervenants dans des procédures quelquefois interminables. Médiapart C4Conseil 08 2021 Le processus « edossier® » est protégé. INTERVIEW Julie : Vous êtes le créateur du EDOSSIER, expliquez-nous en quoi ce processus amène une révolution dans les rapports entre les clients et les intervenant du droit ? Olivier Biard : j’ai travaillé pendant plus d’un an comme consultant formateur dans le cadre d’une commission Présidée par Monsieur Sylvain Waserman, Député du Bas Rhin et vice-Président de l’assemblée Nationale : la « Commission Waserman » Notre mission était de dénoncer les dysfonctionnements de la justice commis lors des procédures de liquidations judiciaires, Monsieur Marc André représentait les mandataires dans cette officine. Cette commission avait été créée à l’initiative d’un député engagé Monsieur Sylvain Waserman et d’une femme remarquable Madame Brigitte Vitale. Nous avons eu l’occasion d’auditionner de nombreux dossiers et j’ai pu constater les difficultés d’accès à la justice des plus désargentés. Les chefs d’entreprises en difficultés sont tout particulièrement concernés et les victimes toutes désignées d’un système bien huilé qui ne laisse aucune chance aux plus faibles. De là est née ma réflexion et mon désir pour trouver une solution pour rétablir l’équilibre des chances, ce qui est la moindre des choses lorsque l’on parle de justice. L’aide juridictionnelle n’apparaissait pas la solution pour traiter des dossiers vieux de plusieurs années, dont le seul classement des pièces pouvait nécessiter des semaines de travail. Dans ce domaine les compétences sont très spécifiques et les procédures étaient confiées « au rabais » à des professionnelles peux compétents. Par ailleurs, obtenir des aides complémentaires résultait du parcours du combattant. De là est née mon idée d’impliquer directement les justiciables à la résolution de leurs procédures. Outre l’ensemble des immenses avantages dont je vous ai parlé plus avant, la solution de transformer une victime passive en « acteur » et « metteur en scène » de son dossier présente un effet thérapeutique évident et avéré. Julie : Comment pensez-vous que ce processus le « edossier» sera accueilli par les professionnels du droit ? Olivier Biard : les avocats sont conscients des difficultés à traiter certains dossiers ; Les dossiers les moins « pécunieux » sont souvent confiés aux jeunes avocats qui ne disposent d’aucune organisation administrative pour collecter et trier les documents. Pouvoir se consacrer à leur seule compétence est une véritable opportunité pour eux. Le « edossier » n’est pas un produit concurrent à leur activité, la formation de leurs clients à ce processus est le moyen de les soulager d’une mission qui ne leurs incombe pas. On est clairement dans la situation gagnant-gagnant. Julie : V ous allez bouleverser certaines habitudes, vous n’avez pas peur que le processus soit rejeté par principe ? Olivier Biard : Si bien sûr ! Le processus est tellement novateur qu’il suscitera des réticences. Je pourrais citer cette phrase toute simple « l’essayer c’est l’adopter » Nous sommes persuadés que ce sont, à terme, les avocats qui orienteront leurs clients vers nous, d’autant que notre formation est suivi d’un accompagnement ; Nous disposons dans notre équipe des compétences pour assister les justiciables post-formation pour la constitution de son dossier. Source : C4Conseil edossier
par Olivier Biard 13 juillet 2021
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Sylvain Waserman, une avancée décisive pour les associations
par Olivier Biard 3 juillet 2021
Une avancée décisive pour la formation professionnelle des adhérents d'association
par Olivier Biard 23 mars 2021
Nous pouvons tous être victimes du « Syndrome de l’imposteur » ! Mais c’est quoi vraiment le syndrome de l’imposteur ? « Les personnes présentant le « SI » ne s'estiment pas intelligentes et ont sans cesse l'impression de tromper leur entourage ou d'être surestimées. Elles doutent constamment de leurs capacités et se révèlent peu sûres d'elles dans leurs réalisations ». Selon une étude 70 % des personnes interrogées admettent avoir un jour été victime de ce syndrome. Je ne suis pas loin de penser que les 30 % restant en ont aussi été victimes mais ne le reconnaissent pas. En tant qu’ agents immobiliers nous pourrions être plus souvent touchés que d’autres au regard des très importants montants des commissions. C’est vrai, par chance, l’on peut réaliser quelquefois, une grosse vente très fructueuse sans grand effort. On peut se poser alors la question du service que l’on a apporté, du temps dépensé et de l’utilité de notre expérience sur ce dossier particulier. Aucune raison de culpabiliser, la chance fait heureusement partie du monde du commerce, mais on ne la rencontre pas à chaque coin d’immeuble. Quand vous ferez votre bilan de fin d’année, vous serez bien obligé de constater que vous avez passez de nombreuses heures avec des clients sans pouvoir aboutir . La vérité est que le barème est bien mal adapté au faible taux d’inflation. Et la fiscalité ? Voilà bien une entité qui devrait porter ce fardeau ; 8% de frais de mutation pour quelques lignes d’écriture, d’autant que vous n’êtes pas quitte pour autant puisque que la majorité de vos honoraires tombera dans l’escarcelle de l’état. Un montant de commission élevé que certain de vos clients vous reprocheront, mais vous n’obtiendrez qu’un silence sans remerciements des prospects pour lesquels vous avez travaillés mais qui n’ont pas aboutis. Une injustice, surement, mais qui ne doit pas vous empêcher d’être persuadé de votre utilité et de votre compétence. Je prône pour le développement de la prospection digitale , utilisée, aujourd’hui, par moins de 10 % des professionnels, une façon de travailler qui séduirait une très grande majorité des prospects et permettrait à terme de diminuer drastiquement le montant des interventions..
par Olivier Biard 17 mars 2021
La fin du boitage* ! La loi du 2020-105 du 10 février 2020 Dur, dur, pour toute une profession. Depuis des dizaines d’années et jusqu’à la fin de l’année dernière, l e boitage était (presque) le seul outil marketing pour cibler les prospects vendeurs. Il est aujourd’hui proscrit et passible d’une amende 1500€ Tout un secteur d’activité qui doit aujourd’hui sérieusement repenser sa façon de travailler. Le boitage immobilier : levier marketing pour les professionnels immobiliers : *« Le boîtage est une action marketing de prospection utilisée depuis des années par de nombreux secteurs d’activité proposant des services ou produits sur un secteur donné, et surtout les négociateurs immobiliers et professionnels de l’immobilier en général. C’est en effet un générateur de leads sectorisés très importants pour une agence immobilière sur son secteur d’activité. Cette technique consiste à déposer dans les boîtes aux lettres des prospectus publicitaires. Dans le secteur immobilier, le boîtage sert à promouvoir les services des agences immobilières mais également et surtout à informer des recherches de biens à vendre sur le secteur car l’agence dispose d’acquéreurs qualifiés. Cela a pour objectif de détecter sur le secteur recherché les potentielles mises en vente des appartements ou maisons et récupérer le mandat avant les confrères ». Source : Createsiteimmo Le boitage présentait l’immense avantage d’un ciblage physique et géographique immédiat. Au-delà de l’impact environnementale, il faut bien reconnaître l’aspect extrêmement chronovore de l’activité et le taux de retour famélique. Vers un marketing immobilier entièrement digital : Moins de 10 % des professionnels de l’immobilier utilisent ce mode de prospection et de communication. L’adaptation au changement est aujourd’hui vitale. Même les plus réfractaires de ce nouveau mode de communication doivent s’y intéresser afin d’apporter de nouveaux services, conserver leurs clients et entrer en contact avec des prospects ciblés et qualifiés. La digitalisation est devenue une réalité , nous ne pouvons plus nous en passer et tout agent immobilier souhaitant développer son activité ne peut occulter le principe de la « prospection digitale ». Les agences tentent de franchir le cap, mais la prospection digitale est un monde à part entière et c’est toute la façon de travailler l’approche du prospect qu’il faut modifier. A terme, ce nouvel état d’esprit accepté et assimilé, c’est l’image entière de la profession qui devrait changer . Dans l’urgence, la pige immobilière s’est intensifiée, mais ne représente qu’une médiocre alternative presqu’aussi intrusive que la relances téléphonique. La prospection digitale est tout à la fois un art et une technique qui demande un investissement personnel et collectif. Les procédures sont quelquefois longues à mettre en place mais les outils sont ludiques et les résultats bluffant. Peu de Centres de formation proposent un enseignement prise en charge et c’est regrettable, mais ceux qui franchiront le pas prendront une grande et durable longueur d’avance sur leurs concurrents. Olivier Biard VERS UNE PROSPECTION ENTIEREMENT DIGITALE .
par Olivier Biard 16 mars 2021
Identité digitale, notoriété et image de marque La réputation qui condense ses deux dernières notions va vous amener le succès ! Dans le concept de la « prospection digitale » il est fondamentale de revenir sur des notions élémentaires de marketing comme la notoriété et l’image de marque . Pour beaucoup d’autres nous, la notion de notoriété et d’image est un peu flou. En fait, c’est simple, mais il est fondamental que vous fassiez la différence ; La notoriété c’est simplement la connaissance que l’on peut avoir de vous ; chacun est plus ou moins connu, cela peut ne dépasser qu’un cercle restreint, famille, amis, travail, et pour d’autres, comme des artistes célèbres, le monde entier. L’image de marque concerne "la différence", l’opinion que l’on a de vous : Cette image est complexe et l'avis peut différer d’une personne à l’autre Elle peut concerner votre physique, votre caractère, votre situation familiale ou économique. Grand, petit, généreux souriant, célibataire, père ou mère, riche pauvre, sont des images qui vous le conviendrez peuvent différer suivant la position de celui qui vous décrit. L’image de marque est fondamentale , elle est longue et complexe à développer, difficile à modifier par la suite. Imaginez que nombres de noms de familles comme Dupont, Dubois, Lebrun, ont été créés en fonction de l’image connu de ceux que des générations portent encore aujourd’hui. Je n’ai cité que des noms très français, mais j’aurai pu prendre des exemples plus complexes comme le mien « Biard » qui la contraction et francisation de Big Hard qui signifie grand et fort. (je ne suis ni particulière grand ou fort) Les vôtres ont probablement aussi des origines lointaines. Votre prénom, plus récent, marque également votre « Image » sans que vous ayez pu en faire le choix. L’image concerne évidemment des personnes physiques, mais les sociétés , les groupes de personnes, ou même les objets , (on parle alors de personnes morales) sont empreints d’une image. Danone, la régie Renault, le Titanic, un groupe politique génère une image, que chacun pourrait décrire et toujours de façon différente. Mais pour rendre les choses encore plus complexe, une image, n’est jamais seule, mais résulte de l’assemblage de plusieurs. Alors, j’ai voulu vous exposer ses notions fondamentales pour ouvrir votre réflexion sur la prospection digitale qui commence par le développement de votre image . Ne vous inquiétez pas, je vais tout vous expliquer. A suivre …. ♥
DANGER La loi Macron du 06 août 2015 ne s'applique pas en SCI. En cas de défaillance ...
par Olivier Biard 9 février 2021
DANGER La loi Macron du 06 août 2015 ne s'applique pas en SCI. En cas de défaillance, le chef d'entreprise ne pourra profiter de l' insaisissabilité de son logement.
par Olivier Biard 5 février 2021
BURNOUT, CONFINEMENT, DISTANCIATIONS SOCIALES et TELETRAVAIL Comment s’adapter au télétravail. Une formation gratuite pendant une semaine dispensée par un professionnel de santé, auteur du précieux ouvrage aux éditions « Atlande» « NON AU BURNOUT » Version béta gratuite, pour 20 participants. Nous souhaitons tester une nouvelle formation en e-Learning liée au confinement. Nous avons besoin de vous, votre seule contribution sera de compléter le questionnaire d’évaluation à la fin de votre formation. Le processus d’acquisition à la fin de cet article. LES DANGERS DE LA SITUATION SANITAIRE « Un seul sourire suffit quelquefois à égayer sa journée». Les conséquences psychologiques des restrictions sanitaires mériteraient d’être beaucoup sérieusement prises en compte Il faudra sans doute patienter de nombreux mois avant que nos expressions s‘évadent de l’étouffement des masques chirurgicaux. « Burnout » Ce mot est connu de tous mais qu’est-ce qu’un Burnout, comment le définit-t-on, comment se manifeste-t-il, quels en sont les conséquences et sa durée. Les chiffres ne trompent pas : Détresse psychologique, sentiment de solitude, perte de motivation... Depuis la rentrée et la prolongation de la crise sanitaire tous les indicateurs du mal-être au travail sont au rouge et en hausse. Un salarié sur trois craint de "ne pas tenir" Sans surprise, les arrêts maladie se multiplient, et chacun improvise et s’organise comme il peut comme instaurer des routines, structurer sa journée ou conserver un lien social. L’inquiétude s’installe et 36% des sondés craignent de ne pas tenir psychologiquement face à cette crise. L'absentéisme va probablement exploser dans les mois à venir.» Pourtant, une majorité de salariés s'estime plus efficace à la maison qu'au bureau. Seulement, tous les indicateurs de l'étude convergent vers un même constat : les symptômes psychologiques augmentent avec le nombre de jours de télétravail et ses conséquences : le manque de contact humain, l’isolement physique ou au contraire la promiscuité, des horaires mal définies et les heures passées en réunion en vidéoconférence. Désengagement généralisé ! Outre la fatigue accumulée au fil des mois et la lassitude face à une pandémie qui semble ne jamais finir, les salariés souffrent aussi d'un désengagement progressif des entreprises. Seulement 32% des personnes interrogées estiment que leur direction démontre un vrai engagement pour la santé psychologique Beaucoup de salariés semblent d'ailleurs en tenir rigueur à leur employeur. La moitié des sondés déclarent ne plus accepter les difficultés qu'ils ont déjà tolérées, 77% estiment que le management de leur entreprise doit s’adapter pour gérer correctement le télétravail. En attendant, ils sont de plus en plus nombreux à se désinvestir de leur travail. Mais comment vraiment définir le burnout ? Le syndrome d'épuisement professionnel, équivalent en français du terme anglais burnout, se traduit par un « épuisement physique, émotionnel et mental qui résulte d'un investissement prolongé dans des situations de travail exigeantes sur le plan émotionnel » Selon Santé publique France ” Le burnout ou épuisement professionnel est caractérisé comme un état d’épuisement physique, émotionnel et mental résultant d’une exposition à des situations de travail émotionnellement exigeantes. Le syndrome inclut trois dimensions (classiquement mesurées par le questionnaire Maslach Burnout Inventory [MBI] : l’épuisement, à la fois physique et psychique ; la dépersonnalisation (ou cynisme), se traduisant par un retrait et une indifférence vis-à-vis du travail, et enfin, la perte d’efficacité au travail et la dévalorisation de soi.” Tous les types d’emploi sont concernés et le fait d’être confronté dans son métier à des demandes d’un tiers constitue un facteur de risque supplémentaire. Selon la sécurité sociale, ” Contrairement à l’accident du travail et l’accident de trajet, il n’existe pas de définition légale générale de la maladie professionnelle. On peut toutefois indiquer qu’elle est la conséquence de l’exposition plus ou moins prolongée à un risque lors de l’exercice d’une activité professionnelle. Cette reconnaissance permet aux patients d’obtenir des indemnités journalières de la sécurité sociale, sans limites de temps, contre trois ans pour une maladie « ordinaire ». Le patient est protégé contre le licenciement durant toute la durée de son arrêt Les causes du burnout : • l'environnement professionnel et les caractéristiques du travail en lui-même. • des caractéristiques individuelles qui prédisposeraient au burnout. • au contexte de vie affectif et amical, à la situation personnelle. • La situation sanitaire subie pourrait donc provoquer cette détresse psychologique grave. Des facteurs de risque ont été identifiés : • être surchargé de travail, • subir une pression pour travailler plus vite, • manquer de contrôle sur son travail, • être peu récompensé ou reconnu, • souffrir d'iniquité, • recevoir des demandes contradictoires, • se voir imposer des objectifs peu clairs, • disposer de moyens insuffisants ou en décalage avec les objectifs exigés, • affronter un conflit de valeurs, • subir une insécurité de son emploi. • Par ailleurs, les personnes sujettes à l’instabilité émotionnelle (tendance à percevoir, construire et ressentir la réalité et les événements comme menaçants, pénibles et problématiques). • Le syndrome d’épuisement professionnel provient de la rencontre entre un individu et une situation de travail dégradée. Premier symptômes Plusieurs années peuvent s'écouler avant que l'effondrement ne survienne Personnes à risque Tout le monde peut être concerné par l'épuisement professionnel, quel que soit son métier et son secteur d'activité, certains facteurs de risque sont communs à de nombreuses situations de travail : la surcharge de travail, la perte de sens, l'isolement et les réorganisations successives, nous retrouvons bien là les caractéristiques imposées par la crise sanitaire. Les femmes sont particulièrement touchées par le burnout, de plus en plus impliquées professionnellement, elles doivent gérer conjointement vie professionnelle et vie familiale. Comment éviter le burnout ? La prévention du burnout passe par un repérage précoce des signes avant-coureurs et la mise en place d'une organisation du travail adaptée (régulation de la charge de travail, sens et reconnaissance). Elle est essentielle pour éviter une aggravation des symptômes et d'éventuelles conséquences dramatiques. Je vous invite à réaliser ce test «CBI» issu des fiches de travail de Monsieur Emmanuel Lair Kinésithérapeute, auteur de l’ouvrage « NON AU BURNOUT » édité aux éditions Atlande. Tester ses risques de burnout : LE COPENHAGEN BURNOUT INVENTORY Le C.B.I.9 est un outil de diagnostic et de prévention du burnout libre de droits, développé suite à un certain nombre de limites rencontrées avec le M.B.I., notamment la perception du travail, culturellement différente entre les nord-américains et les européens. A la base, il est également plus précisément destiné à évaluer les soignants. Commenter cet article pour obtenir un accès au test : LE COPENHAGEN BURNOUT INVENTORY Commenter ce POST pour faire partie des 20 testeurs de la Formation Professionnelle »Vivre et Profiter du confinement » comment s’adapter au télétravail IMPORTANT : Pensez à vous connecter à mon profil.
Les professionnels du tourisme face au Covid-19
par Olivier Biard 1 février 2021
Entrepreneurs restaurateurs, hôteliers, professionnels du tourisme face au Covid-19 Etre formé et informé pour survivre. Par Olivier Biard 𝐔𝐧 𝐚𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭 𝐨𝐜𝐜𝐮l𝐭é 𝐝𝐮 𝐩𝐚𝐫𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐞𝐧𝐞𝐮𝐫𝐢𝐚𝐥
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